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Marc PLANUS

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marc-planus-girondins.jpg

Nom : Marc PLANUS
Date et lieu de naissance : 07/03/1982, à Bordeaux
Nationalité : 20px-FRA.png Française
Taille et poids : 1.83m, 76kg
Poste : Défenseur central
Arrivée au club : Formé au club

Statistiques : http://www.lequipe.fr/Football/FootballFicheJoueur16706.html

Biographie :
Marc Planus a été formé aux Girondins de Bordeaux. C'est un pur produit du Centre de Formation Marine et Blanc. Il n'est pas le premier Planus à être passé par le Centre des Girondins puisque son grand frère, Pierre, a lui aussi fait ses armes au Haillan avant d'évoluer dans d'autres clubs.

Marc débute lors de la saison 2002-2003 sous les ordres d'Élie Baup. Pour sa première année en L1, il participe à 18 rencontres de championnat mais aussi 5 rencontres de Coupe de l'UEFA. Une saison très remplie pour ce débutant qui démarra en L1 le 9 novembre 2002 face au Stade Rennais (2-0).

Il faut dire que Planus fut à bonne école au Haillan. Dans ses débuts, il côtoie des joueurs comme Kodjo Afanou ou encore Alain Roche. Marc admire ce joueur et sa classe naturelle sur le terrain. Il apprend très vite à suivre ses pas. Dans sa deuxième année "pro", le n°27 des Girondins de Bordeaux augmente encore son temps de jeu, participant à 26 matches de championnat et à 7 rencontres de la Coupe UEFA. Il marquera même un but dans cette compétition alors qu'il n'a pas encore eu le bonheur de scorer en L1 avec le maillot au Scapulaire.

Après deux saisons d'apprentissage au haut niveau, Planus passe un cap et s'impose comme un titulaire de l'arrière garde des Marine et Blanc. Lors de l'exercice 2004-2005, il joue 34 matches puis 32 l'année suivante en 2005-2006.

Depuis cette époque, Marc est devenu l'un des doyens du groupe avec Ulrich Ramé. Chaque saison est synonyme de progression pour l'enfant du Port de la Lune même si des petits pépins physiques ont malheureusement limité son nombre d'apparitions (30 en 2006-2007, 32 en 2007-2008).

En 2008-2009, il s'impose en puissance dans la charnière centrale défensive avec Souleymane Diawara. Maître dans l'art du tacle, il contient admirablement les offensives adverses et réalise des relances de grande qualité. Capable de se montrer également menaçant devant le but, il trouve le chemin des filets à deux reprises dans la saison toutes compétitions confondues (37 titularisations).
Cette année, il réalise par ailleurs un triplé historique en remportant avec son équipe le Trophée des Champions, la Coupe de la Ligue et le championnat de Ligue 1.
La saison 2009-2010 est véritablement celle de la consécration pour Marc Planus. Fort de son expérience chez les Girondins, il compose l'axe central au côté de Michaël Ciani et s'illustre par de belles prestations, notamment en Ligue des Champions. Comme la saison passée, Marc a fait trembler à deux reprises les filets adverses mais a également du faire face à des soucis physiques en fin de saison (26 apparitions uniquement en championnat).

Marc Planus est aujourd'hui un défenseur central de haut niveau. Naturellement dôté d'une certaine élégance sur le terrain mais aussi d'une bonne relance, Planus a également appris à durcir son jeu par moment. Il a notamment su travailler sa puissance mais aussi sa technique défensive (notamment les tacles glissés qui sont une de ses armes favorites).

Après avoir connu la sélection Espoirs, le défenseur central des Marine et Blanc a eu l'honneur d'être convoqué en Équipe de France pour la Coupe du Monde 2010. Il a effectué une apparition sous le maillot des bleus face à la Tunisie en match de préparation. Souhaitons désormais que le défenseur bordelais connaisse la consécration au niveau national.

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Personne ne le souligne, pourtant son absence depuis cinq semaines rend notre défense moins sure et n'améne pas Henrique ou Jemmali à se hasarder hors de leurs bases. :icon_confused:

 

Planus joue peut être trop bas (avis de Ricardo) mais en même temps, il sécurise et permet les montées de ses partenaires défensifs.

 

Aurions nous encaissé les buts de PSV et Liverpool ? ... peut être pas. :icon_cool:

 

Six semaines étaient prévues. Au final, entraînement encore non repris, ça fera sans doute plus. :icon_confused:

 

Ouais cela ne nous arrange paset il est clair que je doute que les scores cités précédement auraient été les mêmes. Nous sommes le 20 Octobre et Marc Planus n'a toujours pas reprit l'entraînement, dur àa va être jusqu'à la trêve mais force est de faire sans lui.

La question que je me pose a t il vraimen encore la tête Bordelais ou est il déjà tourné vers le futur....?

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Copié/collé d'un autre site de supp ce jour.

 

Interview de Marc Planus dans But! Bordeaux. Il y évoque notamment son début de saison, sa blessure, son avenir :

 

Marc, vous êtes blessé à la voûte plantaire depuis cinq semaines. Savez-vous quand vous serez rétabli ?

 

Je ne sais pas encore et, honnêtement, cela commence à faire long. Depuis cinq semaines, je ne peux rien faire, excepté du vélo d'appartement. Tous les jours, j'en fais 1h30 pour que mes muscles ne fondent pas. En fait, je limite la casse. Mais je ne peux toujours pas courrir.

 

Ricardo espère votre retour dans le groupe d'içi trois semaines. Est-ce envisageable ?

 

J'espère, j'espère... Je vais bientôt passer une IRM et je saurai exactement ou j'en suis. Le tendon a quand même rompu et je ne prendrai aucun risque. Mais c'est sûr que j'aimerais reprendre l'entraînement d'içi quinze jours ou trois semaines. D'içi là, je patiente, je profite de ma famille. Le coach m'a récemment permis de prendre un week-end et j'ai trouvé ça sympa.

 

Le jour de votre blessure, avez-vous eu le sentiment de livrer votre meilleur match à Galatasaray ?

 

Peut-être... Mais contre Toulouse (2-0, 1er journée), je m'étais plutôt bien senti. A Lorient (1-0, 2è j.), je n'avais rien eu à faire et contre Lyon (1-2, 3è j.), je ne peux pas spécialement me faire de reproches. C'est contre Nice (3-2, 5è j.) que j'étais en dedans. J'ai eu le sentiment de ne pas apporter tout ce que je voulais. On attendait certainement plus de moi sur ce match-là. C'est peut-être pour ça que j'ai été remplaçant à Lille (0-3, 4è j.).

 

Comment avez-vous vécu cette période, vous qui n'aviez jamais été sur le banc auparavant ?

 

C'est sûr que ça fait bizarre et que ça a été difficile à accepter. La dernière fois, c'était avec Michel Pavon il y a deux ans et demi ! Mais dans le fond, je pense que ça m'a été bénéfique. Je me suis remis en question. J'avais peut-être le sentiment d'être un peu installé. Et puis voilà, c'est arrivé... Encore, si j'avais eu le sentiment d'être exceptionnel, je l'aurais mal pris. Mais là, en l'occurence, je savais que je pouvais donner plus. Tout le monde a été remplaçant dans sa vie. Rio (Mavuba), David (Jemmali), Lilian (Laslandes) ou d'autres. Là, ce fut mon tour. Mais je n'ai pas pleuré. La preuve que le staff comptait sur moi, c'est que j'ai débuté à Galatasaray. Malheureusement, il s'est passé ce qui s'est passé.

 

Dans nos colonnes il y a une semaine, Ricardo a évoqué avec nous votre statut. Il a dit qu'il comptait vraiment sur vous, malgré ce que l'on avait pu lire ou entendre. Est-ce une première victoire ?

 

Tant mieux, mais c'est aussi un message. Je sais que je dois faire plus. Je suis souvent mal placé en défense. En attaque, je dois aussi apprendre à apporter le surnombre. Sans être kamikaze, je dois "sortir" un peu plus, apporter quelque chose de nouveau. Mais tout ça, ça va venir. Je n'ai que 24 ans et encore beaucoup de temps pour travailler.

 

Vous êtes titulaire depuis près de trois ans dans une équipe jouant le hait de tableau. Pourtant, des joueurs comme Squillaci, Givet, Boumsong ou Escudé ont pris de l'avance. Qu'avez-vous de moins qu'eux ?

 

Je ne me sens pas spécialement inférieur. Mais la chance de tous ses joueurs - Givet, notamment, avec qui j'ai joué en équipe de France Espoirs - est qu'ils jouent tous les ans une Coupe d'Europe. En alignant des gros matches, ils ont gagné en maturité et en expérience. C'est ce qui me manque encore. Je dois aussi être plus régulier. Mais c'est en disputant des matches de très haut niveau chaque semaine que l'on peut vraiment progresser. C'est pourquoi j'attendais beaucoup cette saison. A Galatasaray, dans une ambiance spéciale, je me suis senti à l'aise. Mais comme je me suis blessé...

 

Aspirez-vous à plus de reconnaissance ?

 

Les médias parlent rarement de moi mais je m'en fous un peu. Je sais que les journalistes préfèrent les attaquants, les grands créateurs, car ce sont eux qui font soulever les foules. Moi, je ne ferai jamais lever un stade. Les médias ne s'intéressent pas aux joueurs ordinaires comme moi. C'est comme ça... Mais comme je l'ai dit, cela ne me dérange pas. Au contraire, même, puisque je suis un grand timide. Si le milieu du foot me considère comme un bon joueur, cela me suffit.

 

N'empêche, vous n'auriez pas aimé accéder à plus de popularité en signant au PSG, avec qui vous avez été en contact cet été ?

 

(Sourire) Oui, c'est possible, mais ce n'était pas ce que je recherchais. Je voulais surtout un nouveau défi. Je m'étais dit que si j'avais une opportunité pour progresser, je la saisirais.

 

Dans ce cas, pourquoi n'êtes-vous pas parti ?

 

C'est resté au stade des rumeurs. Je ne sais pas exactement ce qui s'est passé.

 

Le changement de direction au PSG semble vous avoir été fatal...

 

Vous en savez des choses (rire) ! A partir du moment ou j'ai vu que c'était compliqué, j'ai abandonné. A l'origine, je voulais simplement me pencher sur la question et voir si l'on me proposait quelque chose à l'extérieur. Ce fut le cas un moment avec Paris, mais par la suite, ça a mal tourné. Franchement, cela ne m'a pas déboussolé. Je savais ce que j'avais à Bordeaux. Je n'ai pas été déçu longtemps.

 

Vous êtes un pur produit du centre de formation. Vous n'avez pas le sentiment d'avoir fait le tour de la question à Bordeaux ?

 

C'était un peu le cas cet été, mais aujourd'hui non. Je suis toujours aussi fier de porter le maillot à scapulaire chez moi, devant ma famille et mes amis. C'est une chance énorme et une grande fierté. J'y suis depuis quinze ans et je me régale toujours autant.

 

Dans les clubs formateurs comme Nantes ou Auxerre, rares sont les joueurs formés au club à rester autant d'années. Est-on obligé de partir pour progresser ?

 

Pour moi, Bordeaux n'et pas Nantes. Les Girondins jouent régulièrement les trois premières places et attirent de grands joueurs. Au mercato, les dirigeants font souvent des "coups" qui nous permettent de remplir nos objectifs. Bordeaux n'a pas la puissance financière de Lyon, Paris ou Monaco, mais il fait du mieux possible. Pour moi, c'est un grand club. Et comme j'entretiens d'excellents rapports avec le président, les supporters et le staff, je me sens bien ici. J'y suis depuis très longtemps et je n'ai pas vu le temps passer !

 

Feriez-vous un bon capitaine ?

 

Je l'ai déjà été par le passé. Je n'en fais pas une fixation, car cela ne m'empêche pas de parler sur un terrain. Le plus important, c'est jouer. Mais si on me donne le brassard, je ne le refuserai pas... Et puis, rester ici à vie ne me dérangerait pas non plus. Récemment, je me suis posé la question. Je regardais le Milan AC à la télé. J'ai vu Costacurta sur la pelouse à plus de 40 ans. il y avait un tel enthousiasme dans son jeu que je me suis dit qu'il devait être sacrément heureux d'être là, à défendre son club de coeur. Je commence à ressentir les mêmes choses. Si je peux faire toute ma carrière aux Girondins et rester à vie, ce serait génial. Il me reste deux ans de contrat. Je pense que je verrai mes dirigeants cette année pour leur en parler.

 

Réponses là à toutes les questions qu'on pouvait se poser sur Marc. :lol:

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Guest NoFX
Personne ne le souligne, pourtant son absence depuis cinq semaines rend notre défense moins sure et n'améne pas Henrique ou Jemmali à se hasarder hors de leurs bases. :icon_confused:

 

Ca sert a rien de le souligner à chaque fois.

Des l'annonce de sa bléssure on savait tous que ca serait la merde :!:

Et apparament il est pas pret de revenir...heureusement que ca devait prendre "que" 6 semaines :icon_evil:

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Personne ne le souligne, pourtant son absence depuis cinq semaines rend notre défense moins sure et n'améne pas Henrique ou Jemmali à se hasarder hors de leurs bases. :icon_confused:

 

Ca sert a rien de le souligner à chaque fois.

Des l'annonce de sa bléssure on savait tous que ca serait la merde :!:

Et apparament il est pas pret de revenir...heureusement que ca devait prendre "que" 6 semaines :icon_evil:

 

Il faut toujours traduire les déclarations Girondines en terme de délai de retour aprés blessures. 6 semaines = mini, mini. Comprendre deux fois plus avant d'être sur le terrain. Rendez vous fin Novembre au mieux. :icon_confused:

 

Sans le souligner à chaque fois, il convient quand même de le rappeler aprés un match "insécurisé" comme face à PSV ou Liverpool. Peut être ces soirs d'Europe avec Planus auraient-ils été différents. :icon_cool:

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Guest NoFX

Limiter la casse jusqu'a son retour...et jusqu'au mercato avec l'arrivée obligatoire d'un buteur :!: :icon_evil:

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:clap: pour ces infos. "Faire toute sa carrière à Bordeaux" : Planus arriverait-il là où avant lui Giresse et Grenet ont échoué ?

 

:fcgbecharp:

 

Rien à voir je pense. Giresse et Grenet avaient fait l'essentiel de leur carriére avant de partir, alors que Marc n'a que 24 ans et pour un défenseur, c'est l'aube des temps. :icon_cool:

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:clap: pour ces infos. "Faire toute sa carrière à Bordeaux" : Planus arriverait-il là où avant lui Giresse et Grenet ont échoué ?

 

:fcgbecharp:

 

Rien à voir je pense. Giresse et Grenet avaient fait l'essentiel de leur carriére avant de partir, alors que Marc n'a que 24 ans et pour un défenseur, c'est l'aube des temps. :icon_cool:

 

Je suis très étonné des ses déclarations, si cela s'avère vrai je vais casser la gueule au vigile du grain de folie car son cousin (le vigile) m'avait dit l'inverse. :icon_evil:

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:clap: pour ces infos. "Faire toute sa carrière à Bordeaux" : Planus arriverait-il là où avant lui Giresse et Grenet ont échoué ?

 

:fcgbecharp:

 

Giresse, moi je considère qu'il a fait toute sa carrière à Bordeaux !

 

Ca va, quelque chose comme 17 ans chez nous et une pige à l'om après que Bez l'ait foutu dehors ! :icon_confused:

 

Mais j'avoue, j'aime bien ce que dit Marc !

 

Ce mec est un tout bonet à son poste, je ne vois guère que Gallas en France qui lui soit supérieur !

 

Les autres, de Boumsong à Mexès en passant par Givet, Squillaci ou Silvestre, franchement.... :lol:

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Guest jerome941

il faut quand meme se méfier de ce qui se dit, un jour blanc, un autre noir, ça ne veut plus rien dire.

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De toute façon, et au dela de ses qualités intrinsèques de joueur, Marc est un peu l'âme de cette équipe, c'est évident !

 

Lui confier le brassard de capitaine ? :icon_idea:

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Au-delà du cas Planus, je me demande si un club en France génère autant d'amour et de fidélité de la part de ses propres joueurs.

 

Y a-t-il dans les autres gros clubs français les équivalents de Laslandes, Ramé, Jemmali, Micoud ?

 

Sans parler de tous ces anciens qui ont envie de revenir (Grenet Diabaté Bonnissel qui trouvent refuge au Haillan...., Dugarry, Lucas Dogon Huard Pavon Colleter qui gravitent autour du club après leur retraite)

 

Je pose la question.

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Guest Pelicano

personellement je pense que c'estun joueur genial et qui merite sa place en EDF!

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Guest jerome941

est ce l'amour du club qui pousse les joueurs à rester ou à revenir après leur carriere ou tout simplement le cadre de vie qui est reconnu par tous ?

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