licence 2024/25 Rio MAVUBA

[Djedje91 0]

Étonné je suis par cette déclaration !

 

Le petit Mathieu aurait-il trop pris la grosse tête ... ?

[DenKo 0]

Étonné je suis par cette déclaration !

 

Le petit Mathieu aurait-il trop pris la grosse tête ... ?

 

Ben après ses déclarations anti-Bordelaises, puis celles en effet sur les contrats qu'on porte sur lui... Je pense que Mavuba n'a pas dû apprécier.

[neodenis 0]

Ben après ses déclarations anti-Bordelaises, puis celles en effet sur les contrats qu'on porte sur lui... Je pense que Mavuba n'a pas dû apprécier.

 

En même temps il est Marseillais,faut bien qu'il s'intègre dans son nouveau club,quel bouffon ce mec,il a la dent dure ce guss,il n'as pas était retenu par le staff et le fait sentir

 

Triste mine vas

[miniwiltord 0]

Le FC Seville serait interesser par Rio Mavuba!!

[SirMalgache 0]

Depuis le mois de mai dernier, Rio a décidé de s’investir dans une noble cause, celle d’aider à ce que plusieurs enfants, orphelins de père et de mère, aient une chance de vivre correctement et soient encadrés à longueur de temps.

Ayant ses racines au Congo, c’est dans un des quartiers les plus défavorisés, le quartier de Makala, fait de bidonvilles, que Rio va œuvrer le plus longtemps possible. A partir d’une vieille bâtisse où résida son père, Ricky Mavuba, Rio lança un orphelinat de jour, pour le moment, avant d’héberger complètement ces 31 enfants dans les semaines à venir.

Chaque jour, ces enfants de 5 à 16 ans rejoignent l’orphelinat afin d’être encadrés dans des jeux ramenés spécialement pour l’occasion. Mais cela ne s’arrête pas là puisqu’ils bénéficient de cours le matin, avec des bases pour la majorité (75% sont illettrés), et des cours approfondis pour d’autres. Le midi, des repas équilibrés sont proposés : un réel changement de vie pour ces jeunes ! Des activités sont bien évidemment prévues l’après-midi. Enfin, les enfants repartent dans la famille qui les accueille (en attendant l’agrandissement de l’orphelinat qui permettra de les héberger) avec un goûter.

Des soins médicaux leurs sont également administrés dans un pays qui ne connait pas la « santé ». L’hygiène fait aussi partie de cet encadrement avec des douches journalières.

Rio n’oublie donc pas ses origines en alimentant mensuellement le compte de sa Fondation et en participant à l’épanouissement de ces jeunes de ces quartiers défavorisés de Makala, en République Démocratique du Congo.

Bravo Rio !

 

Le site de la fondation : http://fondation-rio-mavuba.org

 

Merci à girondins4ever pour l'infos

C'est plus qu'un bon joueur, c'est un brave gars.

Je l'adore

[LeCartel15 0]

Si je ne me trompe pas Mavuba et sa famille ont été hebergé par les Valbuena. C'est ça ?

Si c'est le cas, avant de décider qui est le méchant et qui est le gentil, attendez d'en savoir plus. Rio c'est un bon mec. C'est clair. Mais on ne sait rien de cette histoire. Et franchement moi je m'en fous un peu. Je trouve juste dommage. Car l'histoire était belle.

[Djedje91 0]

& en plus si mes souvenirs sont bons, les deux se sont sacrement "chamaillés" sur le terrain lors du Om-Lille a Montpellier lors de ce début de saison !

[Guest Altharian]

Juste comme ça par rapport à la brève postée : dire de Rio qu'il est "international français", vous trouvez pas ça légèrement exagéré ?

 

Non parce que sinon Jurietti ou Chimbonda aussi sont des internationaux... Faut redescendre un peu sur terre. ^^

[eltet 0]

Juste comme ça par rapport à la brève postée : dire de Rio qu'il est "international français", vous trouvez pas ça légèrement exagéré ?

 

Non parce que sinon Jurietti ou Chimbonda aussi sont des internationaux... Faut redescendre un peu sur terre. ^^

 

 

6 sélections, il est international au mettre titre que Jurietti ou Henry ...

 

Peut-être pas en activité en EDF mais "l'appellation" est bonne ...

[Guest Altharian]

Et au même titre que Chimbonda ?

 

Je ne partage pas ce point de vue.

 

Pour moi un international est quelqu'un d'actuellement sélectionné ou sélectionné il y a peu (moins d'un an on va dire).

Au delà on peut parler d'ancien international je pense, mais dire de lui qu'il est "international" c'est lui donner une dimension qu'il n'a pas ou plus. Ça fait un peu mensonger (je dit pas ça pour la brève ^^ mais pour "l'appellation" qui veut qu'une seule sélection donne le statut d'international à vie au joueur, ce qui est faux)

 

Pour moi Pirès n'est pas international par exemple. Ancien international oui, mais il ne l'est plus, donc il ne l'est pas.

 

Après ça se défend. ^^

 

Bientôt les AOC pour les internationaux... :Diabolo pour WGLT09:

[DenKo 0]

J'ai déjà vu dans pleins d'articles de foot "l'international français Franck Jurietti ............ ".

C'est sûr que c'est assez marrant parce-que bon, 5 secondes de jeu quoi

[vobiwan 0]

Rio Mavuba, le milieu de terrain et capitaine du LOSC, fait le point sur le début de saison. L'international français évoque la situation de son club et celle des Bleus. Mais l'ancien Bordelais parle aussi de sa fondation, « Les Orphelins de Makala ».

 

Rio Mavuba, quel regard portez-vous sur ce match face à Valence (1-1) jeudi soir ?

 

Après notre début de saison, et face à une équipe comme Valence, ce résultat reste très positif. Même si en face il ne s'agissait pas forcément de l'équipe A, nous non plus nous n'avions pas mis tous nos titulaires. C'est de bon augure pour la suite avec une belle intensité au niveau du jeu. Mais physiquement aussi. J'étais un peu déçu de ne pas être sur le terrain. Mais il y a un turnover mis en place. Le coach a décidé de me faire souffler dans l'optique du prochain match.

 

Justement, comment abordez-vous le derby face au Racing Club de Lens (6eme journée de Ligue 1) ?

 

Immédiatement après cette rencontre face à Valence, on s'est concentré sur notre objectif premier : le championnat. Les gens du Nord ont le football dans le sang et vouent un amour qui n'a pas d'égal pour le club qu'ils supportent. Ce week-end, c'est un derby, « eul derby de ch'Nord ». (Rires) Nous avons réussi à redresser la barre avec une victoire en championnat (1-0 face au FC Sochaux-Montbéliard) puis un bon match nul contre Valence. Maintenant, il nous faut l'emporter face à Lens pour avoir un autre match référence.

 

Comment sentez-vous le groupe lillois ?

 

Depuis le début de saison, et malgré les chamboulements d'avant-saison, le groupe a toujours bien vécu, avec une bonne ambiance. Après, lorsque l'on a des résultats comme ceux que l'on a eus, il faut se parler, prendre les choses en main, se dire les choses, analyser et surtout agir. C'est ce que tout le monde a fait et on va encore mieux aujourd'hui. Il ne reste qu'à enchainer les victoires et confirmer.

 

« Ma tête et mes jambes sont tournés vers l'équipe de France »

 

Avez-vous été inquiet après le début de saison plus que moyen des Dogues ?

 

Au vu de notre début de championnat, il nous fallait quelque chose pour tout remettre à plat et repartir sur de bonnes bases. Nous avions déjà vécu cette situation la saison dernière. Après, vous connaissez le résultat final : nous avons fini en trombes ! Donc inquiet, non. Mais c'est dommage de ne pas avoir su retenir les erreurs de la saison dernière. Le groupe vivait bien, nous avons réalisé quelques bons matchs mais sans avoir le résultat à la clé. Le LOSC se doit d'être en haut de tableau pour le club et ses supporters. C'est à nous, les joueurs, de faire le travail.

 

Personnellement, comment vous sentez-vous ?

 

Je pense avoir effectué une bonne préparation et j'étais déjà très frais dès le départ. Je suis bien dans ma tête et mes jambes suivent. Tout va pour le mieux pour moi. En tant que capitaine, je dois avoir les mots justes mais je pense avoir l'expérience nécessaire pour exercer ce job. Il reste juste à confirmer et redresser la barre collectivement.

 

Quels sont vos objectifs personnels et collectifs pour cette saison ?

 

Les objectifs collectifs sont inchangés. Il faut, pour le bien du club, se qualifier de nouveau pour une compétition européenne. C'est-à-dire faire au moins le même parcours que la saison passée, sinon mieux. A titre personnel, j'entends disputer un maximum de matchs. Et ceci dans toutes les compétitions. Et j'ai toujours envie de jouer pour l'équipe de France. Il va falloir encore travailler mais dans le football, tout est possible. Mon cœur, ma tête et mes jambes sont tournés vers l'équipe de France.

 

« Les Bleus ? J'aimerai participer à cette aventure »

 

Vous n'avez pas été retenu avec le groupe de l'équipe de France pour les deux derniers matchs face à la Roumanie et la Serbie. Quel est votre sentiment face aux derniers résultats des Bleus ?

 

J'aimerais participer à cette aventure et aider l'équipe à se qualifier pour la Coupe du Monde sans passer par les barrages. Rester à la maison me permet de me reconcentrer sur les prochaines échéances du LOSC qui vont être décisives. Mais il n'y a rien à faire : j'ai des fourmis dans les jambes et voir jouer cette équipe dans mon canapé me fait mal. Mais on va se qualifier, je l'ai toujours dit : la France ne peut pas rester à la maison pour cette Coupe du Monde. C'est impensable.

 

Il paraît que vous avez ouvert un orphelinat…?

 

Oui, j'ai en effet ouvert ma fondation depuis le mois d'avril 2009. Cela fait maintenant quelques mois qu'elle existe et je tenais à m'assurer que tout était en ordre et que c'était sur de bons rails pour la promouvoir. Cet orphelinat accueille aujourd'hui plus de trente enfants, orphelins de père et de mère. Je contribue à plusieurs associations comme « Un maillot pour la vie », dont je suis le parrain de l'antenne Nord de Lille. Mais je voulais aussi m'investir personnellement dans un projet qui m'est propre.

 

Qu'est ce qui vous a poussé à vous investir au Congo ?

 

Mon père a joué pour les « Léopards », l'équipe nationale du Zaïre, et a donc habité au Congo avant de rejoindre la France avec ma famille. Devant la misère des quartiers de Kinshasa, quartiers essentiellement constitués de bidonvilles, c'est tout naturellement que l'idée m'est venue. On imagine mal, en ayant toujours vécu en France, la pauvreté de ces pays africains, de ces enfants qui n'ont pas eu la chance de vivre ailleurs, d'avoir une réelle chance de vivre « normalement ».

 

« Lorsque je gagne, les enfants en profitent également »

 

Quelles sont les mesures que vous prenez pour remédier à ces conditions de vie ?

 

Des choses qui pour nous peuvent paraitre banales mais qui pour ces enfants sont extraordinaires. L'eau est là-bas une denrée rare alors on leur donne suffisamment à boire. Les conditions d'hygiène sont déplorables et inhumaines : nous leur faisons prendre plusieurs douches chaque jour. Une véritable découverte pour eux. Et qui dit hygiène dit santé. Ils sont intégralement pris en charge et bénéficient de soins lorsque cela est nécessaire. Ces enfants ne mangeaient pas non plus à leur faim avant la création de l'orphelinat. Aujourd'hui, ils ont des repas complets chaque jour. Il y a trois personnes employées par la fondation et ces personnes gèrent et s'occupent de ces enfants en permanence, leur permettant de recevoir une éduction, des enseignements, tout en les occupant par l'intermédiaire de jeux éducatifs ou ludiques. C'est aussi primordial.

 

Comment cet orphelinat est-il financé ?

 

Il est financé de mes fonds propres depuis le départ. Nous recherchons cela dit des partenaires et sponsors qui pourront se présenter sur le site officiel de la fondation (http://fondation-rio-mavuba.org). Histoire de nous épauler. Il est aussi prévu qu'à chaque victoire du LOSC cette saison, je reverse un pourcentage de mes primes de matchs. C'est une motivation supplémentaire car lorsque je gagne, les enfants en profitent également. Mais en résumé, toute personne peut nous aider financièrement ou matériellement. Alors n'hésitez pas à nous contacter via le site de la fondation (Responsable à contacter : M.Ghouti Barkat, prosportsconsulting@hotmail.fr).

 

Quels sont vos prochains objectifs concernant l'orphelinat ?

 

Pour le moment, l'enceinte de l'orphelinat ne permet pas d'héberger les 31 jeunes. Seuls deux d'entre-deux y sont en permanence. Nous avons pour projet l'agrandissement des locaux dans les semaines qui viennent afin de pouvoir loger tout le monde. Les 29 autres retournent généralement chez des oncles, tantes ou grands parents en attendant cette évolution. J'aimerais en accueillir plus encore, surtout lorsque l'on voit le nombre d'orphelins qu'il y a dans la rue, livrés à eux. Mais il ne faut pas faire n'importe quoi et s'assurer que les enceintes puissent les accueillir convenablement.

 

Le site de la Fondation Rio Mavuba, les « Orphelins de Makala » : http://fondation-rio-mavuba.org

 

A Rio toujour cette grosse deception que tu soit partit

[mejico 0]

Les amis de Mavuba s'unissent pour la bonne cause

 

Sur le terrain comme dans la vie, Rio Mavuba donne sans compter. Car le capitaine du LOSC n'oublie pas d'où il vient. Lui, le fils de Ricki Mavuba, international zaïrois vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations 1974, a créé en avril 2009 une fondation qui porte son nom dans le quartier de Makala, le quartier de son père, à Kinskasa. Dans l'actuelle RD Congo, «les orphelins de Makala» accueille plus d'une trentaine d'enfants. Le but de la fondation est clair : permettre à ses pensionnaires d'être scolarisés et d'avoir accès à des conditions d'hygiène et de santé normales.

 

Pour faire connaître son action et lui permettre de prendre encore un peu plus d'ampleur, Rio Mavuba organise le dimanche 12 juin, au Cap-Ferret en Gironde «les 24 heures de Makala». Cette manifestation, réservée pour cette première édition aux médias, partenaires et sportifs, a pour but de récolter des fonds. Sont ainsi attendus dans la propriété de l'ancien Bordelais, les coéquipiers lillois de Mavuba (Rami, Debuchy, Hazard), des amis tel Chamakh, Mandanda ou le rugbyman Bastareaud et des artistes tels que Pascal Obispo, les BB Brunes, Grégoire, Pokora ou encore Amel Bent. Ou quand une bonne partie de foot entre copains devient une bonne action.

[cocotaussat 0]

ce garçon mérite d'être en EDF il est sûrement meilleur que certain qui occupent le terrain et ne font que prendre des places à des gens bien supérieur à eux.