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girondins69

David BELLION

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très longue interview de Bellion mais très intéressante ... ça balance pas mal .

David, étiez-vous au courant de cet accord entre Nice et Bordeaux qui devrait vous empêcher de disputer le match de dimanche ?

 

David Bellion : Ce sont les présidents qui discutent et qui s’arrangent entre eux. Moi, je voulais une bonne porte de sortie. Le reste, ce n’est pas mon souci et ça ne me regarde pas. C’est un joueur de Nice qui me l’a annoncé mercredi. D’une certaine manière, je veux jouer. Je suis parti de Bordeaux pour jouer au football. Peu importe le match. Ça fait un an que je n’ai pas joué. A un moment donné, je n’ai que cinq mois devant moi. Si je commence déjà à louper des matches, ce n’est pas bon...

Que pensez-vous de cet accord ?

David Bellion : Je comprends que Jean-Louis Triaud défende ses intérêts. Que Stellardo ait donné sa parole et qu’il la tienne, c’est respectueux. Je ne leur en veux pas du tout. Après, ce qui me fait rigoler, c’est que d’autres joueurs partis en prêt de Bordeaux comme Grégory Sertic à Lens ont joué face aux Girondins. Même Abdou Traoré qui joue avec moi à Nice est qualifié pour cette rencontre. Moi, non ! Ce qui me fait rire aussi, c’est que l’on m’a mis à la cave. Je n’étais même pas dans le groupe, je ne servais à rien. Maintenant que je suis parti pour pouvoir m’exprimer, ils ne veulent pas que je joue contre eux ! Mais ce n’est pas si étrange que cela parce que je sais très bien ce qui s’est passé à Bordeaux.

 

Que s’est-il passé justement à Bordeaux ?

 

David Bellion : Je pouvais marquer 200 buts à l’entraînement et être le meilleur, ça ne servait à rien. On ne me «calculait» pas. Et si j’étais le plus nul, c’était pareil. C’est ça qui est grave. A un moment donné, je n’avais plus le droit de progresser. On m’a bien fait comprendre que tant que l’actuel entraîneur des Girondins serait là, je ne jouerai pas. C’est ce qui a été dit à mon agent avec des explications qui étaient plus dites pour se donner bonne conscience. Je ne parle pas du tout du président. Jean-Louis Triaud, c’est quelqu’un que j’apprécie beaucoup et avec qui j’ai toujours eu de très bonnes relations. Tout comme avec Nicolas de Tavernost (Ndlr : président du directoire de M6, actionnaire majoritaire). C’est quelqu’un que l’on voit moins mais il a toujours un mot gentil. Je n’ai aucun souci avec la direction.

 

Le souci était avec Jean Tigana…

 

David Bellion : Oui, bien sûr. Mercredi en conférence de presse, un journaliste m’a posé une question : «A Bordeaux, il se dit que tu as laissé le football dans un coin de ta tête, ce qui pourrait expliquer tes difficultés…». C’est ça qui me saoule ! Je suis parti tout seul à Nice pour jouer au football, sans ma femme et mes enfants. Et on ose dire des choses pareilles ? Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage… On cherche toutes les raisons et toutes les excuses possibles. Quand j’étais en retard, ce n’était pas du tout pareil que si ça avait été un cadre de l’équipe. Au premier retard que j’ai eu, dans son regard, c’était comme si j’avais «violé un enfant» ! Là, j’ai bien compris dans quelle catégorie j’étais.

Quand avez-vous su que vous ne plaisiez pas à Tigana ?

 

David Bellion : A son arrivée, il s’est très bien comporté… jusqu’à ce que le mercato soit bouclé. Au surlendemain du match contre Toulouse (1-2 lors de la 2e journée), il m’a fait venir dans son bureau en compagnie de Michel Pavon pour me dire : «Je ne compte pas t’utiliser plus que Laurent Blanc la saison passée». Moi, je lui ai indiqué qu’il n’y avait pas de souci et que je restais tout de même à Bordeaux, notamment pour des raisons personnelles sachant que ma femme était enceinte et que ma petite fille rentrait bientôt à l’école. Il était trop tard. Dans ma tête, je me suis dit que Jean Tigana pouvait réagir comme Didier Deschamps. A Marseille, Deschamps avait annoncé que certains joueurs n’entraient pas dans ses plans et il leur a tout de même donné leur chance. Au début, j’ai demandé à jouer en réserve parce que je ne voulais pas jouer un match tous les trois mois pour exploser et devenir mauvais comme la saison dernière. Je préférais repartir sur de bonnes bases, jouer des matches pleins, marquer des buts, emmagasiner du rythme et de la confiance pour pouvoir avoir ma chance.

 

Estimez-vous l’avoir eue ?

 

David Bellion : Ma chance, je l’ai eue à Nancy en Coupe de la Ligue (le 22 septembre dernier). On gagne 2-1, je marque. Et derrière, plus rien. Ce n’est pas comme-ci on était premier et que tout le monde avait mis 50 buts ! J’aurais mérité de jouer au moins 25 minutes de temps en temps pour savoir si je vaux quelque chose. Que Tigana prenne des joueurs au mercato parce qu’il ne sait pas trop ce que je vaux, que la concurrence soit saine, il n’y a pas de souci. Sauf qu’avec moi, il n’y avait pas de concurrence ! C’est la première fois de ma carrière que quelqu’un se comporte de cette manière avec moi. Et quand quelqu’un ne m’aime pas, je lui montre aussi que je ne peux pas le «saquer» aussi. Pourquoi des sept attaquants présents dans le club (lui plus Diabaté, Ayité, Gouffran, Saivet, Modeste et Maazou), je n’ai eu le droit qu’à 2 matches de Ligue 1 (les deux premières journées), 38 minutes et terminé ? Tout le monde a eu, à un moment donné, un peu de temps de jeu. Moi non !

Quelle a été votre réponse ?

 

David Bellion : Si on m’ignore, j’ignore. Tout simplement. Moi, je ne me rabaisse devant personne. Et surtout pas lui ! Par contre, dans mon travail de tous les jours, j’ai toujours été là. J’ai toujours encouragé les jeunes. Quand je jouais avec la réserve, je n’y allais pas à reculons. Au contraire, ça me faisait plaisir d’apporter ma pierre à l’édifice en réserve et surtout de jouer pour Patrick Battiston, avec qui je pouvais dialoguer. Par contre, je ne me suis pas embarqué dans un «je m’enfoutisme» total. Pas du tout. Je travaillais. Et ça, on ne peut pas me le reprocher. On ne peut pas dire que j’étais un glandeur, que j’ai fait le fumiste ou que j’ai foutu le bordel à l’entraînement. Si on veut me faire comprendre que ce n’est qu’un choix sportif… Il ne faut pas me la faire à l’envers.

En voulez-vous à Jean Tigana ?

 

David Bellion : Pas du tout. Lui en vouloir, ça serait lui accorder de l’importance. J’étais plus blessé la saison dernière parce que c’étaient des choix sportifs de la part de Laurent Blanc, quelqu’un de très intelligent. C’était dur à gérer. Mais si je le croise dans la rue, j’irai le voir avec le sourire et je prendrais de ses nouvelles. C’est quelqu’un qui m’a apporté énormément. C’est une personne qui m’appréciait et que j’apprécie humainement. C’est un «Monsieur». Je ne lui en veux pas à Tigana car il sait très bien ce qu’il a fait. Et il le saupoudre par des excuses à deux balles. Je n’ai pas fait pire, mieux ou moins bien que quelqu’un d’autre. Il pourra raconter ce qu’il veut… Peut-être qu’il estimait qu’il y avait un salaire de trop. Je ne sais pas.

N’avez-vous pas peur que certains disent : «Il est aigri parce qu’il ne jouait pas» ?

 

David Bellion : Quand j’étais à Sunderland, je n’ai pas joué lors de la ma première année. J’avais 18 ans. A Manchester, je n’ai pas souvent joué avec Sir Alex Ferguson car il y avait tellement de grands joueurs dans l’équipe… Mais il me donnait ma chance et tous les jours, il venait me voir pour savoir si j’allais bien, pour me rassurer. Laurent Blanc, je n’ai rien à dire de mal sur lui. Et même Antonetti, avec qui j’ai eu quelques accrochages parce que c’est quelqu’un de sanguin, ce n’est pas quelqu’un qui m’a fait des coups comme j’ai eu cette saison à Bordeaux. Et qui manipule l’information, qui fait de la com’… Moi, je n’ai jamais maitrisé ma com’. Je dis ce que je pense comme je le pense. Je n’ai pas besoin des gens puissants ou des gens qui ont du pouvoir pour exister. Je n’ai pas besoin de faire parler quelqu’un d’autre… Ce n’est pas un souci par rapport au club, au staff, au président… Je n’ai pas du tout de haine par rapport à Bordeaux. C’est un club auquel j’appartiens. Et c’est malheureux de voir un grand club avoir des déboires comme c’est le cas actuellement.

 

Êtes-vous surpris par tout ce qui passe actuellement à Bordeaux ?

 

David Bellion : Non, pas du tout. Et quand je dis ça, je ne parle ni des joueurs, ni du président. Que le président protège son club, c’est tout à fait normal. C’est son bébé. J’ai passé les six premiers mois là-bas donc ça ne me surprend pas. Après, j’essaye de dire les choses tout en faisant attention pour le moment parce que je n’ai pas envie que l’on me colle un procès. Je me suis bien comporté à Bordeaux jusqu’au bout parce que j’ai un contrat et que je me dois de l’honorer. Jamais, je ne me permettrais de faire quelque chose d’idiot qui entraînerait une faute professionnelle et une rupture de contrat. Parce que je sais qu’il y a quelqu’un là-bas qui aurait pris un malin plaisir à faire ça et à me pousser à bout. J’ai toujours été irréprochable. Jean Tigana lui-même l’a reconnu devant la presse. Moi, je ne suis pas quelqu’un de violent ou de fou. Je suis un homme avant un joueur de football. Je ne suis pas une serpillère. On a voulu salir mon nom et mon honneur en parlant par derrière. Pour le moment, je ne dis rien parce que je laisse Bordeaux travailler en paix. Mais cette personne, je ne la louperais pas. Si à 28 ans, je me permets de dire tout ça alors que je n’ai jamais eu de souci avec aucun autre entraîneur, comprenez que j’ai de très bonnes raisons.

 

Ce transfert à Nice a donc été un soulagement…

 

David Bellion : Oui, dans le sens où j’espérais que ça se fasse. Si le club qu’il me faut se manifeste quand il faut, là c’est un soulagement. Je n’espérais qu’une chose : qu’Eric Roy se manifeste. Et quand il l’a fait, j’étais vraiment très très heureux. Car ça me permettait de chasser toutes ces histoires et ces comportements de gamin. Ça me permet surtout de me reconcentrer sur quelque chose avec un entraîneur avec qui j’ai d’excellents rapports. Comme avec tout le staff niçois. A Nice, dans la façon dont tout le monde se comporte avec moi, je suis obligé de me défoncer et de leur rendre le double.

 

N’êtes vous pas davantage frustré par le fait de ne pas jouer ce match dimanche avec tout ce qui s’est passé avec Jean Tigana ?

 

David Bellion : Non pas plus que ça. Il m’a eu pendant six mois. Dans sa logique, si je suis sur le terrain, il va se dire : «C’est bon, il n’y a pas de souci. Ce n’est pas un grand joueur». Qu’est-ce qu’il a à craindre de moi Tigana ? C’est là où ça me fait rire. Peut-être que le président Triaud sait très bien que, dans la situation actuelle du club qui reste sur deux défaites, si je joue et que je plante trois buts, ça pourrait faire désordre. (Ironique) Je n’ai pas à me mettre une pression positive supplémentaire parce que c’est Jean Tigana en face. Je m’en fous. Je n’en ai rien à cirer de lui ! Ce match, je n’en fais pas une affaire personnelle. J’ai un collectif à respecter. Le plus important, c’est de prendre 3 points pour se maintenir. C’est ça qui m’intéresse.

Sport24.com

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Il a déjà 28 ans ? :o

 

Sinon réaction tout à fait représentative de ce que je pensais de Tigana, c'est à dire aucun contact avec le joueur pour l'encourager, ou dans d'autre cas pour le recruter...

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Je ne parlais pas en terme d'intérêt pour nos couleurs - encore que Bellion, ça n'est quand même pas un nom de nature à faire trembler les défenses -

mais en terme d'éthique !

 

Tu recrutes un joueur, même prêté, tu l'alignes à ta guise, point.

 

Ben, justement en terme d'éthique, je trouve normal qu'il ne soit pas aligné !

Parce qu'il est sous contrat avec Bordeaux. Et l'avantage du prêt, c'est que Nice n'a pas eu d'indemnité de transfert à payer (sans parler de la partie du salaire versée par les Girondins). En gros, c'est un avantage pour Nice (qui reçoit un joueur gratis) et le joueur (qui a du temps de jeu). Manquerait plus qu'en plus il plante un but au club qui a payé et les indemnités de transfert et l'autre partie de son salaire !

D'autant que, au niveau de l'éthique, on pourrait se poser des questions. Imagine qu'il s'agisse d'un match décisif où Bordeaux joue une place européenne. Quelle serait la réaction du joueur... Pour peu qu'il passe à côté de son match, on pourrait légitimement le soupçonner d'avoir lever le pied pour ne pas priver le club à qui il appartient (et donc devrait jouer la saison suivante) d'une compétition que lui pourra disputer.

 

Bon suis pas complètement réveillé, donc pas sûr d'être clair... (mais j'ai raison)

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OUF.....les têtes de turcs se révoltent....trop de parti pris entraîne inévitablement des réactions....Attention Jeannot la partie n'est pas gagnée.....

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Guest Fil

J'aime bien dans l'arcticle le côté JEANNOT il est méchant, par contre JEAN-LOUIS et NICO sont sympas.

 

Je suppose que sa mise au placard n'est pas que le fait de l'entraineur, je vois mal DE TAVERNOST payer un salaire à un joueur qui n'a même pas sa chance sans rien dire!

Alors, conseillé par son avocat, il garde le dessert pour nous le servir lorsqu'il quittera le club, ou tout ça lui à échappé?

Quoi qu'il en soit, quand on veut que les joueurs respectent leur contrat, même si on est pas dans le monde des bisounours, il faut respecter les leur!

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J?

Quoi qu'il en soit, quand on veut que les joueurs respectent leur contrat, même si on est pas dans le monde des bisounours, il faut respecter les leur!

 

 

Effectivement cela parait etre la moindre des choses....alors je ne sais pas ce qu'il a encore a nous apprendre mais là il y a tout de même un petit problème.

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Toujours aussi pitoyable dans cette entretien Bellion, aucune autocritique, il n'est jamais responsable, il se présente toujours comme une pauvre victime

 

-1 Le match contre Toulouse était le 15 aout, donc l'entretien le 16, il n' a pas été convoqué les matchs suivants, il ne me semble pas que le mercato était déja bouclé à cette époque .

 

-2 Même si Deschamps est moins rigide et plus souple que Tigana, je ne pense pas que ce soit en arrivant en retard aux entraînements, et en privilégiant un attitude conflictuelle que Valbuena a pu récupérer sa place .

 

-3 Quant à la question du journaliste :

«A Bordeaux, il se dit que tu as laissé le football dans un coin de ta tête, ce qui pourrait expliquer tes difficultés…».

Pas besoin de rechercher de complot contre son "honneur", n'est ce pas lui qui, il y peu de temps encore nous expliquait qu'il restait à Bordeaux pour raisons personnelles, et que même s'il ne jouait pas il n'était pas à plaindre car il gagnait bien sa vie ? Comment ne peut on pas se poser ensuite des questions sur son ambition ?

 

- 4 le "tout le monde il est gentil, même ceux qui ont été méchants avec moi, alors si je vous dis que Tigana est très très très méchant vous pouvez me croire" c'est un procédé de cours d'école, de la manipulation de bas niveau . Cela en serait risible si ce type d'argumentaire ne sortait pas de la bouche d'un mec de 28 ans .

 

C'est l'interview d'un mec aigri, qui a fait des choix en début de saison, les évènements ne se sont pas déroulés comme il le souhaitait et aujourd'hui il a du mal à assumer .

Il n'a sûrement pas tous les torts, il n'est pas le seul à se plaindre du management de Tigana, il aurait difficilement pu faire pire que certains alignés régulièrement, mais quand je lis son entretien, sans aucune remise en question, je me demande s'il a vraiment tout fait pour mériter une chance .

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Spéciale dédicace à Ogu :

 

Bellion cherche le déclic

Prêté à Nice lors du dernier mercato, le Bordelais n'a plus marqué en Championnat depuis 14 mois. Une situation délicate qui n'inquiète toutefois pas ses coéquipiers avant la venue du PSG, dimanche (17h00).

 

Même sur la Côté d'Azur, le temps peut parfois paraître long...Annoncé comme le maillon manquant à l'attaque des Rouges et Noirs (15 buts marqués en 23 journées), David Bellion court toujours après son premier but sous le maillot niçois. En trois matches et 205 minutes disputés, l'attaquant formé à Cannes s'est bien créé quelques situations, mais, pour l'heure, la réussite le fuit et le but se dérobe. Son dernier fait d'arme en Ligue 1 remonte aujourd'hui au 19 décembre 2009 et un doublé inscrit pour Bordeaux face à Lorient (4-1). Une éternité...

 

Faé : «Il se bat pour l'équipe, il nous propose des solutions, il ne faut pas s'inquiéter. »

 

En Ligue 1, David Bellion pèse quand même 31 buts sur les 5 dernières saisons (en 134 matches). L'ancien attaquant de Premier League (Sunderland, Manchester United et West Ham) marque donc, en moyenne, un but tous les quatre matches. Et si le déclic était prévu pour ce dimanche face à Paris ? « C'est ce qu'on lui souhaite, espère le milieu ivoirien Ermerse Faé, cadre du vestiaire niçois depuis 2008 (82 matches, 10 buts). David n'a pas joué depuis un an, ce n'est pas évident. Il lui faut retrouver le rythme, ça va venir. Il se bat pour l'équipe, il nous propose des solutions, il ne faut pas s'inquiéter. » Pas encore peut-être...

 

Scotchée à la 16e place (avec 26 unités), l'OGC Nice ne possède aujourd'hui plus que deux points d'avance sur le voisin monégasque, premier relégable. « Chez nous, depuis les départs de Loïc Rémy et d'Anthony Modeste, personne ne s'est vraiment détaché en attaque, concède Faé. Les places sont devenues chères depuis l'arrivée de David, on cherche la bonne formule. » Avec trois buts chacun, Ljuboja et Faé se partagent le fauteuil de meilleur buteur du club, mais le Serbe joue moins ces derniers temps. « C'est la loi de la concurrence, constate Faé. Ce n'est jamais facile d'être sur le banc, mais les gars bossent tous à l'entraînement pour gagner leur place. De toute façon c'est comme ça que l'on y arrivera. Cette saison, les grosses équipes nous ont plutôt bien réussi c'est vrai, mais la différence s'était faite sur l'état d'esprit affiché.» A dimanche la réBellion ?

 

lequipe.fr

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Guest ogu

Ouais, le discours habituel sur le mythe habituel. Tous les attaquants ont marqué un jour ou l'autre, et pour autant les "déclics" (comprendre, un but qui a pour incroyable propriété de transformer un joueur de plomb en or) sont rares. Mais ça plaît aux gens cette histoire, ça doit correspondre à quelque chose d'ancré au fond de nous...l'idée qu'il suffit d'un rien pour basculer du bon côté, que notre bonne étoile va nous sourire...que nos capacités réelles comptent moins que la Providence dans la réussite...Et tant pis si dans l'écrasante majorité des cas il ne se passe rien pour personne : le simple fait que quelqu'un ait profité de ce mini-miracle suffit à entretenir un immortel espoir chez les autres!

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Guest metaldusty

A dégager lui aussi.... Ou éventuellement sur un 4-4-2 à plat, et en jeu de contre, sans quoi... au revoir !!!

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"Un remplacement pendant la mi-temps: Ljuboja entre en jeu à la place de Bellion, peu en vue et qui n'a donc pas marqué ni été passeur en 11 matches de Ligue 1 cette saison." commentaires Europsort

 

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IL est sympa et il a un super esprit mais il est limité. C'est clair qu'il n'a plus le niveau le David malgré tout ses efforts. Je fais partie de ceux qui souhaitaient son départ. En Juillet 2010, ça aurait été mieux quand même ...

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